Donc, $M$ n'appartient pas au plan $\mathscr{P}$. Ainsi, $\mathscr{P}$ ne contient aucun point de la droite $\mathscr{D}$ et on en déduit que la droite $\mathscr{D}$ est strictement parallèle au plan $\mathscr{P}$. L'affirmation 1 est vraie.
Donc, le point $H$ appartient au plan $\mathscr{P}$.
Un vecteur normal au plan $\mathscr{P}$ est le vecteur $\overrightarrow{n}$ de coordonnées $(4,-1,-1)$. Le vecteur $\overrightarrow{AH}$ a pour coordonnées $(1,-7,9)$.
Le vecteur $\overrightarrow{AH}$ n'est pas colinéaire au vecteur $\overrightarrow{n}$. En effet, s'il existe un réel $k$ tel que $\overrightarrow{n}=k\overrightarrow{AH}$, $k$ doit
vérifier $k=4$ et aussi $-7k=-1$ ce qui est impossible.
On en déduit que la droite $(AH)$ n'est pas orthogonale au plan $\mathscr{P}$ et donc que le point $H$ n'est pas le projeté orthogonal du point $A$ sur le plan $\mathscr{P}$. L'affirmation 2 est fausse.
On en déduit que la droite d'équation $y=0$ est asymptote à $\mathscr{C}$ en $-\infty$.
$\displaystyle\lim_{x\rightarrow+\infty}e^{-2x}=\displaystyle\lim_{X\rightarrow-\infty}e^X=0$ puis
On en déduit que la droite d'équation $y=3$ est asymptote à $\mathscr{C}$ en $+\infty$. L'affirmation 3 est vraie.
Ensuite, puisque $-t\geqslant -1,5$, on a $e^{-t}\geqslant e^{-1,5}$ par croissance de la fonction exponentielle sur $\mathbb{R}$. On en déduit que $(2-t)e^{-t}\geqslant0,5e^{-t}\geqslant0,5e^{-1,5}$.
Finalement, pour tout réel $t\in[1;1,5]$,
$$(2-t)e^{-t}\geqslant0,5e^{-1,5}.$$Par croissance de l'intégrale, on en déduit que
Ainsi, il existe un réel $x_0\geqslant1$ à savoir $x_0=1,5$ tel que $F(x)>0$ et donc l'affirmation 4 est fausse.
Par suite,
\begin{align*} \displaystyle\int_{1}^{6}\dfrac{1}{2t+3}\;dt&=\dfrac{1}{2}\displaystyle\int_{1}^{6}\dfrac{2}{2t+3}\;dt=\dfrac{1}{2}\left[\ln(2t+3)\right]_1^6=\dfrac{1}{2}(\ln(15)-\ln(5))=\dfrac{1}{2}\ln\left(\dfrac{15}{5}\right)\\ &=\dfrac{1}{2}\ln(3). \end{align*}L'affirmation 5 est fausse.